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Rencontre: Emmanuelle Meyer, AFAF




Dans ce deuxième billet de notre série qui présente les organisations fondatrices de la Fédération des gens d’affaires francophones de l’Ontario (FGA), nous braquons notre projecteur sur l’Association des femmes d’affaires francophones (AFAF).


Emmanuelle Meyer, une courtière immobilière établie à Oakville, préside l’AFAF depuis 2019.


Voici ses réponses aux questions de Quartier d’affaires :


Quelle est la mission de l’Association, et quel est son rôle au sein de la FGA ?


L’AFAF se concentre sur le réseautage et l’apprentissage pour les femmes d’affaires francophones et francophiles de la grande région de Toronto-Hamilton.


Avant la pandémie, nous organisions chaque mois un souper et une conférence. Nous profitions aussi de ces soirées pour tisser des liens d’amitié et nous entraider. J’ai bien hâte que nous puissions reprendre ces activités !


Nous croyons que les femmes devraient toujours avoir l’occasion de s’exprimer et de prendre part aux décisions. Dans le cadre de la FGA, nous nous intéresserons donc particulièrement aux questions qui concernent les femmes en affaires. De plus, nous ouvrirons l’œil pour trouver nos prochains conférenciers et conférencières.


Quels sont les obstacles auxquels sont confrontées vos membres en tant qu’entrepreneures francophones dans un milieu majoritairement anglophone ?


Parler français n’est pas un obstacle, bien au contraire. C’est bien d’être franco ! Toutefois, certaines personnes semblent hésiter à s’afficher comme tels.


Bien entendu, nos membres parlent aussi l’anglais et utilisent également cette langue au travail, mais le français demeure vraiment un plus. C’est pour ça que mon site Web est bilingue et que je dis toujours haut et fort que je suis francophone.


Quand les gens recherchent des produits ou des services, ils ont tendance à faire affaire avec des personnes qui leur ressemblent. S’afficher en tant que franco, c’est se donner une chance de plus d’être choisi.


Comment la plateforme Quartier d’affaires peut-elle aider les entreprises francophones en Ontario ?


Nous espérons surtout qu’elle permettra aux entreprises de faire connaissance entre elles et d’établir plus facilement de nouvelles relations d’affaires.

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