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Rencontre : Julien Dutronc, East & West Media Consulting



Julien Dutronc, s’est installé avec sa famille à Toronto au mois de juin dernier après avoir passé 15 ans en Asie. Là-bas, ce Français a œuvré surtout dans la distribution et le marketing de contenus télévisuels et numériques.


Il oriente donc vers ces spécialités l’affaire qu’il démarre actuellement avec sa femme, la Canadienne Cherry Lam Dutronc.


Le président d’East & West Media Consulting répond aux questions de Quartier d’affaires :


Avez-vous rejoint la plateforme Quartier d’affaires pour vendre des services ou des produits ?

Nous proposons divers services, principalement aux entreprises de production et de diffusion dans l’industrie du cinéma, de la télévision et du numérique.


Nous pouvons par exemple négocier avec un câblodistributeur canadien pour qu’il ajoute une chaîne d’origine asiatique à son offre, ou encore vendre une série canadienne à un diffuseur européen.


Au-delà de la recherche de clients, nous espérons rencontrer d’autres entrepreneurs franco-ontariens, simplement pour échanger et nous familiariser avec notre nouvel environnement.


Cherchez-vous des services professionnels ?

À ce stade de notre démarrage, nous fonctionnons avec une équipe très réduite pour limiter nos dépenses. Toutefois, quand notre activité sera suffisamment développée, nous aimerions faire appel à la communauté francophone ontarienne pour du soutien juridique et comptable, ainsi que des services en graphisme et en marketing.


En quoi est-ce un atout pour vous de parler français et de faire des affaires en français ?

Mon épouse et moi parlons quatre langues : le français, l’anglais, le cantonais et le mandarin. Chacune d’elles pourra nous être utile pour traiter avec divers clients et acheteurs d’ici et d’ailleurs.


Notre expérience canadienne est limitée pour l’instant, mais le français me sert déjà quand j’ai affaire à des entreprises comme Bell Média ou Radio-Canada.


Le fait d’être établi en Ontario me semble aussi avantageux sur le plan concurrentiel. Les sociétés françaises, par exemple, pourraient trouver plus facilement un prestataire de services francophone au Québec, mais en Ontario, nous sommes moins nombreux.

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