Dominic Mailloux cumule deux fonctions de premier plan dans le monde des affaires franco-ontarien : en plus de présider le Club canadien de Toronto, il est le président de la Fédération des gens d’affaires francophones de l’Ontario (FGA), formée au début de l'année 2021.
Dans le premier d’une série de billets visant à faire connaître les organisations fondatrices de la FGA, nous lui avons posé ces quelques questions :
1. Quelle est la mission du Club canadien de Toronto, et quel est son rôle au sein de la FGA ?
Le Club organise diverses activités qui rassemblent la communauté francophone et francophile du Grand Toronto. Il favorise ainsi des contacts enrichissants entre ses membres, qu’ils proviennent du monde académique, culturel, gouvernemental ou des affaires. De plus, il met en lumière les enjeux majeurs qui touchent la communauté.
À titre de membre associatif de la FGA, le Club y représente les intérêts des gens d’affaires franco-torontois.
2. Quels sont les obstacles auxquels sont confrontés vos membres en tant qu’entreprises francophones dans un milieu majoritairement anglophone ?
L’un des principaux défis était, jusqu’à présent, l’absence d’un réseau structuré de gens d’affaires franco-ontariens. Cette absence limitait les possibilités d’échanges et les opportunités pour les entrepreneurs francophones, mais à présent, la FGA entend bien combler ce manque.
3. Comment la plateforme Quartier d’affaires sur B2BeeMatch.com peut-elle aider les entreprises francophones en Ontario ?
En créant Quartier d’affaires en partenariat avec B2BeeMatch, le FGA offre aux entreprises franco-ontariennes un espace conçu pour tisser des liens entre elles. D’autre part, elles peuvent y développer de nouveaux marchés, car elles ont accès à des entreprises d’ailleurs au Canada et de partout au monde.
En permettant à nos entrepreneurs d’y présenter leurs services, cette plateforme les aide aussi à relever le défi de la transformation numérique.
Le volet grand public de Quartier d’affaires, pour sa part, donne la possibilité aux commerces et aux PME de vendre leurs produits à une clientèle plus vaste.
Comments